Yerres
Centre-Ville Bellevue

Rue de Paris (rue Charles de Gaulle)

Restaurant Poste

Vers 1910 : rue de Paris, restaurant de la Poste (éditeur Mulard)
A droite, le "Restaurant de La Poste" de Monsieur Larive propose des écuries
et des chambres meublées.

Restaurant de La Poste
Vers 1910 : rue de Paris, Hôtel de la Poste, maison Laurent (éditeur Mulard)
En prenant un verre en terrasse, on ne craint pas encore les méfaits de l'oxyde
de carbone.

Rue Charles de Gaulle
Octobre 2020 : 86, 90 et 90 bis rue Charles de Gaulle.
Est-ce que l'environnement a tellement changé ?
Le bâtiment en premier-plan a été surélevé, mais l'ex restaurant et sa voisine
de gauche ont gardé la même structure de base.
L'entrée de l'ex-restaurant dont la porte n'existe plus, se fait par la cour arrière.

Entrée de Yerres
Vers 1910 : la café restaurant de La Poste - Larive (éditeur Mulard)
Les Yerrois se souviennent de la crêperie "Le Prince" qui occupait l'emplacement
de l'hôtel et qui existait encore dans un passé récent. Le château Beauregard
qui n'est pas encore le siège de l'Hôtel de Ville - il faudra attendre 1965 -
se trouve derrière le bouquet d'arbres de l'arrière-plan. A droite, derrière le mur fut
construit le premier habitat social, la Résidence "le Manoir", dans les années 60.

Rue de Paris

Vers 1910 : rue de Paris
En avançant d'une centaine de mètres, après le virage, on découvre cette très belle
villa reconnaissable à sa tourelle (la villa existe toujours) en face de l'actuelle mairie.
La rue de Paris est bien déserte : ni véhicules, ni voitures à cheval, ni passants.
Un peu plus loin sur votre droite existe désormais l'entreprise yerroise
"Pègues Combustibles" établie depuis très longtemps dans la commune.

Rue Charles de Gaulle 2020
Octobre 2020 : 105 rue Charles de Gaulle
On constate que ce qui existait un siècle plus tôt est toujours en place.
Le rez-de-chaussée a été adapté à la vie moderne (une porte et une
ouverture contre deux ouvertures en 1900).

Détail 105 rue Charles de Gaulle
Octobre 2020 : 105 rue Charles de Gaulle (détail)
Les décorations murales n'ont pas été transformées. Les crêtes, qui
ornaient le toit ont hélas disparu, tout comme les lambrequins.
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